Ces documents montrent que l’autorité des médicaments a interdit aux unités administratives des différentes provinces italiennes de publier les effets secondaires des vaccins Covid. Les rapports à cet égard avaient explosé en si peu de temps après le début de la “vaccination” de masse que leur publication aurait entraîné une forte hésitation “vaccinale” au sein de la population.
De plus, la communication interne montre qu’il était bien connu que les médicaments de thérapie génique par ARNm injectés n’avaient été testés d’aucune façon sur des personnes âgées, malades et fragiles et qu’aucune étude ne pouvait donc être disponible sur ce sujet, et aucune ne montrait une prévalence prédominante. bénéfice aurait pu être déterminé pour les vaccinés.
Néanmoins, cette affirmation a été faite publiquement et c’est précisément ce groupe cible, déjà fragilisé sur le plan sanitaire, qui a été initialement particulièrement visé par la “vaccination”. De plus, l’agence du médicament, apparemment contre toute attente, a lancé une campagne médiatique à grande échelle affirmant qu’il s’agit de substances très efficaces, protectrices et inoffensives.
L’émission en question est très populaire en Italie, a des audiences élevées et a été regardée par des millions de personnes.
Elle est hélas encore payante pour l’étranger : https://mediasetinfinity.mediaset.it/video/fuoridalcoro20222023/linchiesta-sui-vaccini_F312336201011C12