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La dépénalisation des actes pedocriminels à nouveau promue dans un rapport de l’ONU en date du 8 mars 2023, sous couvert de protection des “droits de l’homme” et des principes fondamentaux (plan sur 5 ans).

Les termes utilisés sont les suivants : discrimination, relations consensuelles, droits sexuels.

L’objectif de cette propagande est de parvenir à faire accepter notamment les postulats suivants : l’attirance sexuelle d’un adulte envers un enfant est un penchant naturel comme les autres, il ne s’agit pas d’un comportement criminel.
En ce sens, un enfant peut tout à fait consentir à avoir des relations sexuelles avec un adulte.

En parallèle, l’OMS a promulgué les standards pour l’éducation sexuelle en Europe (Cf. Dr Bilheran), ce qui a abouti à l’adoption en 2001 d’une mesure spécifique contenue dans une loi dite IVG en France, passée inaperçue pour la plupart des français.

Ladite loi a permis d’intégrer, sans motivation particulière et sans étude sérieuse, l’enseignement obligatoire de l’éducation sexuelle dès 3 ans dans notre corpus juridique (nous avons eu connaissance de cas graves de perversion de mineurs suite à la mise en œuvre de cette loi et de ses circulaires).

A quoi parvient-on en rendant obligatoire l’éducation sexuelle à l’école ?

A la présomption irréfragable d’un consentement libre et éclairé de l’enfant. Il sera désormais impossible de démontrer devant une Cour que l’enfant était incapable de réaliser la nature et la gravité de l’acte qui lui a été imposé.

Il y a pourtant un contresens : “éducation” signifie apprendre à réprimer ses pulsions (cf. Dr Bilheran).
Puis, d’après Freud, on ne doit jamais rendre l’enfant sexualisé, sous peine de le rendre inéducable (cf. Dr Bilheran).
Qu’est-ce donc que cette “éducation” à la sexualité ?

D’après les véritables experts du psychisme de l’enfant, l’éducation à la sexualité avant l’adolescence c’est NON.

L’ENFANT QUI N’A PAS TERMINÉ SON DÉVELOPPEMENT PSYCHIQUE NE PEUT PAS DONNER SON CONSENTEMENT.

Par ailleurs, l’autorité parentale doit être respectée suivant les dispositions du Code civil et de la Convention des droits de l’enfant.

Il n’est pas étonnant que ces directives proviennent donc de l’ONU/OMS étant donné leur origine : le financement du rapport Kinsey (pedocriminel et pro-nazi ayant procédé à des expériences sexuelles sur des enfants dont des bébés) par la Fondation Rockefeller et le lien des Rockefeller avec la famille Gates, qui finance la propagation des droits sexuels, ainsi que le Planning familial (Cf. Dr Reisman et Dr Bilheran).

En parallèle, certains spectacles sont désormais proposés aux enfants dès 3 ans, une “oeuvre” representant un viol d’enfant est exposée au public et revendiquée par la ministre de la culture au sein même du Parlement (au mépris des dispositions du code pénal), les “élites” s’accommodent toujours de la pedocriminalité dès qu’il s’agit d’art, d’auteurs. Puis le pedosatanisme, reconnu par la Miviludes même, est constamment nié dans les médias mais peu à peu, la fange fini par jaillir des égouts.

Il est temps que le législateur s’informe auprès des experts afin de connaître au moins les rudiments du développement de l’enfant et de ne pas légitimer les pires crimes contre l’humain.

Adresse aux parlementaires et aux français : L’éducation à la sexualité doit être purement et simplement supprimée des programmes scolaires et des ouvrages pédagogiques.

Il n’y a aucune raison sérieuse qui justifie cette mesure. A l’inverse toutes les raisons de la supprimer d’urgence sont au dossier.

https://www-unaids-org.translate.goog/en/resources/presscentre/featurestories/2023/march/20230308_new-legal-principles-decriminalization?_x_tr_sl=fr&_x_tr_tl=en&_x_tr_hl=fr

www-unaids-org.translate.goog (https://www-unaids-org.translate.goog/en/resources/presscentre/featurestories/2023/march/20230308_new-legal-principles-decriminalization?_x_tr_sl=fr&_x_tr_tl=en&_x_tr_hl=fr)

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