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Les hôpitaux ont assassiné des patients atteints de la COVID. Plus ils en tuaient, plus ils gagnaient d’argent.

Et pendant qu’ils le faisaient, les propagandistes vous disaient que l’ivermectine était un « dangereux vermifuge pour chevaux ».

Eh bien, il s’avère qu’une nouvelle étude publiée par le Journal of Infection a révélé que les personnes testées positives à la COVID-19 et traitées à l’ivermectine se rétablissaient PLUS VITE que celles qui ne l’avaient pas fait.

Plus précisément, le temps de récupération médian était deux jours plus rapide pour ceux qui prenaient de l’ivermectine.

L’étude a également révélé qu’un pourcentage plus faible de bénéficiaires de l’ivermectine (1,6 %) ont été hospitalisés ou sont décédés par rapport à 4 % dans le groupe de comparaison.

Cela semble bien plus efficace que les soi-disant vaccins. Alors, pourquoi les gouvernements du monde entier ont-ils vilipendé l’ivermectine ? Parce que les vaccins COVID imposés au monde ne pourraient pas exister si l’ivermectine s’avérait efficace.

L’autorisation d’utilisation d’urgence stipule :

« Pour que la FDA délivre une EUA, il ne doit exister aucun produit candidat alternatif adéquat, approuvé et disponible pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou l’affection. »

Ils ont donc dû discréditer l’ivermectine.

Et ce faisant, le Dr Pierre Kory, médecin spécialiste en soins intensifs, déclare : « Cela a causé la mort de millions de personnes dans le monde. »

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