«Parce que quand même, il y a un lézard», soulignait il y a quelques années déjà Philippe de Villiers, alors que Cash Investigation vient de ressortir
https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/comptes-de-campagne-d-emmanuel-macron/mckinsey-une-firme-au-c-ur-du-pouvoir_6786871.htmlhttps://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/comptes-de-campagne-d-emmanuel-macron/mckinsey-une-firme-au-c-ur-du-pouvoir_6786871.html) le scandale des cartons (fin de la vidéo .
Il y a de quoi tailler plusieurs costards, comme dirait Fillon
Fin 2015, le jeune candidat intégrait à son équipe de campagne une trentaine de consultant de l’entreprise américaine, qui travaillaient pour lui «gratuitement», rappelait ainsi de Villiers.
Et comme par enchantement, une fois Macron élu, les contrats pharaoniques attribués à la boîte de conseil se sont alors multipliés.
Une infiltration réussie au cœur de l’éxecutif l’Etat français qui permet à McKinsey de dessiner les grandes orientations de politiques publiques.
En taillant la part du lion pour les amis, comme Pfize https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-on-vous-resume-la-polemique-autour-de-mckinsey-le-cabinet-qui-conseille-le-gouvernement-sur-la-strategie-vaccinale_4291131.htmlhttps://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-on-vous-resume-la-polemique-autour-de-mckinsey-le-cabinet-qui-conseille-le-gouvernement-sur-la-strategie-vaccinale_4291131.html)r pour la gestion de la crise sanitaire.
«Dans une démocratie normale, Macron ne pourrait pas se représenter tellement ce scandale est un scandale d’Etat», jugeait (https://t.me/kompromatmedia/1716https://t.me/kompromatmedia/1716) à l’époque Dupont-Aignan.
▶️ «Qu’ils viennent me chercher» bis?-Macron s’énerve sur McKinsey (https://t.me/kompromatmedia/1712https://t.me/kompromatmedia/1712)