Par Hélène Pelosse et Frédéric Morin
La technologie s’insinue dans notre environnement, souvent à notre insu, sans que l’on en comprenne les tenants et aboutissants. Aujourd’hui nous disposons d’une téléphonie mobile dont la fréquence est très proche des harmoniques de l’eau, du wifi, de la 3G, 4G, 5G et de l’interconnectivité d’innombrables technologies domestiques, etc., autant d’ondes porteuses qui pénètrent l’être électromagnétique que nous sommes. Nous sommes immergés dans un smog électromagnétique qui pénètre en profondeur notre cerveau, perturbant notre système endocrinien, touchant nos fonctions mémorielles par annihilation de nos neurotransmetteurs, inhibant dans certains cas l’intelligence pratique, la vigilance, notre logique, toute action salvatrice et propice à un changement de cap pour notre civilisation planétaire.
Quand Google nous parle de connecter 30 milliards d’objets à l’échelle d’une planète, cela implique un smog électromagnétique généralisé d’une nocivité jamais connue pour le biotope et les êtres humains. Un tel lieu est sans doute vivable pour un cyborg, un four à micro-ondes ou une machine à café, mais pas pour un être humain, dont la bioélectronique ne saurait supporter une telle agression.
Google est une structure totalement contrôlée par des militaires en lien avec la DAEPA centre connu pour toutes ses expériences sur la conscience humaine dans le cadre de projets tels « Monarque ». Google tend à devenir un outil orienté vers une manipulation psychotronique de masse. Assisté par une très puissante intelligence artificielle, ce système informatique mondial peut moduler la subjectivité humaine selon des lois cybernétiques. Une fois que l’intelligence artificielle a appris de l’humain, elle dispose des données nécessaires pour traiter sa subjectivité comme un objet modulable et intégrable à souhait.
Google, entre autres réseaux militaires plus secrets, n’est autre que le déploiement potentiel de systèmes psychotroniques visant l’humanité entière. Une telle application civile et militaire est pourtant proscrite à l’échelle internationale qui interdit l’usage d’armes modifiant le comportement humain. En vain.
Car quelle commission internationale pourrait enquêter aujourd’hui ? De quels moyens technologiques disposerait-elle pour détecter et prouver de tels méfaits ? Par ailleurs, dans la mesure où le secret militaire est apposé sur toutes ces armes secrètes de l’ombre, qui est aujourd’hui est en mesure de le faire lever pour saisir l’ampleur du phénomène et l’arrêter ?
Tous nos téléphones et ordinateurs sont branchés sur un réseau militaire qui dispose d’une multitude d’outils psychotroniques depuis 60 ans. Un adolescent regarde en moyenne 76 fois son téléphone par jour. N’est-il pas déjà sous le joug de modulations cérébrales dont personne n’a encore conscience ? Qui connaît en détail la technologie embarquée d’un i-phone, d’une tablette ou des nouveaux ordinateurs miniaturisés ? Et, qui aujourd’hui aura la compétence pour déchiffrer les noyaux algorithmiques développés par intelligence artificielle et connectés à des réseaux de noyaux artificiels ?
Toutes les consciences sont atrophiées et se trouvent, au fil des développements technologiques, sous conditionnement toujours plus puissant. Une large majorité de l’humanité fonctionne déjà avec des pensées « artificielles » induites qui ne lui appartiennent pas. L’OTAN ne cache pas ses intentions à ce propos : ainsi, dans une brochure de 2020 intitulée « Cognitive Wafare », l’organisation affirme que puisque la majorité de la population est ignorante des technologies psychiques avancées, il est facile de faire de chaque citoyen « une arme de propagande participative ».