07.11.2024 Pyrénées-Atlantique – France : Une femme de 48 ans, employée à la Poste, était jugée ce jeudi 7 novembre 2024 au tribunal de Pau pour avoir délaissé ses quatre enfants durant une période de six mois. Les enfants devaient se débrouiller seuls pour se faire à manger. Elle ne passait que deux fois par semaine dans cette petite maison d’une commune du nord Béarn alors qu’elle vivait à dix minutes de là, chez son nouveau compagnon. Elle a été condamnée à dix mois de prison avec sursis avec un suivi de 18 mois, au cours desquels elle devra suivre des soins et effectuer un stage de responsabilité parentale.
Une femme de 48 ans, employée à la Poste, était jugée ce jeudi 7 novembre 2024 au tribunal de Pau pour avoir délaissé ses quatre enfants durant une période de six mois. Les enfants devaient se débrouiller seuls pour se faire à manger. Elle ne passait que deux fois par semaine dans cette petite maison d’une commune du nord Béarn alors qu’elle vivait à dix minutes de là, chez son nouveau compagnon. Elle a été condamnée à dix mois de prison avec sursis avec un suivi de 18 mois, au cours desquels elle devra suivre des soins et effectuer un stage de responsabilité parentale.
Ce sont les deux plus grandes de ses filles, l’une âgée de 20 ans, l’autre de 17 ans qui s’occupaient à tour de rôle de faire à manger au reste de la fratrie. Avec difficulté, puisque le frigo était souvent vide. La mère ne venait déposer des courses que deux fois par mois. La maison exigüe était laissée en désordre “dans un état pitoyable” avec la présence de trois chiens. A l’audience, la complète indifférence de la mère est soulignée. En pleine nuit, elle reçoit par exemple un appel au secours d’une de ses grandes parce que la plus petite est malade. “Tu me casses les couilles. On verra demain,” lui répond la mère.
“J’avais besoin de m’éloigner de mes enfants”
“Je regrette. J’ai eu un moment de faiblesse,” explique cette fonctionnaire de la Poste, par ailleurs insérée, qui ne s’est pas remise des violences sexuelles commises par son ex-mari et père des enfants. “Vous n’aviez pas peur qu’il arrive quelque chose à vos enfants ?” interroge le tribunal. “A la maison, ils ne risquaient pas grand chose,” répond la mère, semblant ignorer que son garçon de 14 ans souffre de troubles du comportement. Tous cachaient en fait cette situation aux services sociaux, de peur d’être séparés et placés. Aujourd’hui, la famille vit à nouveau sous un même toit. “J’espère que vous allez redevenir une mère digne de ce nom,” lui lance pour finir le procureur.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/une-mere-jugee-a-pau-pour-avoir-delaisse-ses-quatre-enfants-pendant-plus-de-six-mois-5294716
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Note de l’article
80% des placements sont abusifs” clament certains ici et là. Ils cherchent la lumière, la gloire et/ou servent des agendas politico-spirituels. Evidemment, comme d’habitude, ils sortent des chiffres de leurs chapeaux. Les chiffres chocs, ça rapporte….
Je rêve d’une société où les agents du chaos ne seront plus écoutés. Soyons tous honnêtes et de bonne foi. (oui, je me permets l’ingénuité en ce monde où, désormais, le mensonge est plus écouté et impacte plus que les faits.