Première utilisation controversée de la capsule Sarco en Suisse : Une autopsie révèle des marques d’étranglement et des blessures au cou, soulevant des questions sur la promesse d’une ‘mort paisible’.
Un ‘suicide assisté’ indolore ou un dysfonctionnement tragique ? La victime, toujours en vie six minutes après activation, n’a été déclarée morte qu’une demi-heure plus tard. Enquête en cours et accusations potentielles d’homicide involontaire. La ‘mort douce’ est-elle vraiment celle que l’on imagine ?
L’obsession de contrôler la mort révèle la face sombre d’une société qui a oublié de célébrer la vie.