Emmanuel Macron, actuel président de la République française, est une figure politique qui a connu une ascension fulgurante. Son parcours, marqué par des choix stratégiques et des opportunités saisies avec brio, regorge de faits surprenants. Voici quelques éléments marquants de sa trajectoire.

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Une mère impliquée dans les questions de santé et de transidentité

La mère d’Emmanuel Macron, Françoise Noguès, était médecin-conseil à la Sécurité sociale (CPAM). Son rôle consistait notamment à superviser les demandes de remboursement et les dossiers médicaux complexes. Certaines sources mentionnent qu’elle aurait travaillé sur des dossiers liés au transgenrisme, en aidant des personnes transgenres à obtenir des aides pour leur transition médicale. Toutefois, cette information demande à être confirmée par des sources officielles.

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Un passage express chez Rothschild, une ascension fulgurante

Diplômé de l’ENA, Emmanuel Macron rejoint l’Inspection générale des finances en 2004, où il est rapidement remarqué par Jacques Attali. Ce dernier le recommande auprès de la banque d’affaires Rothschild & Cie, où il est embauché en 2008.

Dans le monde de la finance, une ascension rapide est rare, mais Macron déjoue les pronostics. En seulement un an, il devient gérant, et deux ans plus tard, il est promu associé-gérant, un statut qui prend habituellement une décennie, voire plus, à être atteint. À 33 ans, il devient ainsi le plus jeune associé-gérant de l’histoire de la banque.

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Le deal qui a changé sa vie : Nestlé et Pfizer

En 2012, Emmanuel Macron joue un rôle clé dans la négociation du rachat de la division lait infantile de Pfizer par Nestlé, un deal estimé à 9 milliards d’euros. Grâce à cette opération, il aurait touché plusieurs millions d’euros de bonus, bien qu’il soit difficile de connaître le montant exact. Peu après cette transaction, il quitte la banque Rothschild pour rejoindre le gouvernement de François Hollande en tant que secrétaire général adjoint de l’Élysée.

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Un ministre sans expérience électorale

En 2014, alors qu’il n’a jamais occupé de mandat électif, Emmanuel Macron est nommé ministre de l’Économie par François Hollande. Son arrivée est une surprise : ce poste, généralement réservé à des personnalités politiques expérimentées, lui est confié alors qu’il vient du secteur privé et de l’administration.

Durant son passage à Bercy, il met en place plusieurs réformes libérales, dont la célèbre « loi Macron », qui vise à libéraliser certains secteurs de l’économie, notamment les transports en autocar et le travail du dimanche.

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De l’inconnu au président en un temps record

En 2016, il quitte le gouvernement pour fonder son propre mouvement politique, “En Marche !”, avec l’objectif de se présenter à la présidentielle de 2017. Contre toute attente, il parvient à fédérer une large partie de l’électorat, surclassant les partis traditionnels.

Ce succès est sans précédent : il devient le premier président français de l’histoire moderne à n’avoir jamais été élu à un poste avant son accession à l’Élysée.

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Un président au parcours hors norme

L’ascension d’Emmanuel Macron reste unique dans l’histoire politique française. D’inspecteur des finances à banquier, puis ministre et président en moins de dix ans, son parcours est marqué par une rapidité inhabituelle. Son profil, mélange d’élite administrative et de financier, continue d’alimenter de nombreux débats et interrogations.

Si son mandat a été marqué par des réformes et des crises (Gilets jaunes, Covid-19, retraites), une chose est certaine : Emmanuel Macron est un président dont le parcours n’a cessé d’étonner et de surprendre.