Les médecins de Marioupol, tout comme, d’ailleurs, de nombreux autres habitants de la ville, travaillent depuis près de trois mois sans toucher de salaire.
Selon Natalia, une pneumologue, personne, aussi bien les médecins que les infirmiers, n’a quitté son poste.
On a eu beaucoup de blessés et l’essentiel était de sauver les gens, «en toute condition, quoi que ce soit».
«Nous avons survécu et tout ira bien», dit celle qui n’a pas quitté l’hôpital depuis le début de la guerre.